Le marché de l’emploi en France a été chamboulé par la pandémie mondiale. Après l’année 2020 marquée de tristes records, l’année 2021 était signe d’espoir et de transition. C’était également l’année du rebond du marché de l’emploi. Une reprise contrastée, en fonction des secteurs d’activités, qui n’ont pas tous été touchés de la même manière par la crise sanitaire, mais aussi selon les régions. En effet, si les secteurs du tourisme, de la restauration et des loisirs ont été durement impactés, certains secteurs ont réussi à se développer en s’adaptant aux changements de vie dictés par la Covid. De la même manière, certaines régions ont réussi à créer plus d’emplois entre 2019 et 2021. C’est le cas notamment de la Nouvelle-Aquitaine, la Bretagne ou la Provence-Côte d’Azur. Tandis que d’autres ont eu du mal à redresser la barre, comme l’Île-de-France, le Grand-Est et particulièrement la Bourgogne-Franche-Comté. L’intérim, qui fluctue en fonction de l’activité économique du pays, est un bon indicateur de la reprise du marché de l’emploi. Après une année 2020 chaotique, l’intérim a enregistré une croissance de + 7,2 % durant l’année 2021, dépassant même les chiffres d’avant crise. Le marché de l’intérim à Nantes est par exemple particulièrement en plein essor. Pays de la Loire : qu’en est-il du marché de l’emploi ? Le marché de l’emploi dans les Pays de la Loire et particulièrement en Loire-Atlantique est dynamique. En 2020, 11000 entreprises y ont été créées et près de 60 000 entreprises sont implantées à Nantes en 2021. Dans sa dernière publication, l’Observatoire régional de l’emploi des Pays de la Loire confirme la reprise globale du marché de l’emploi avec une baisse des demandeurs d’emploi et un fort recours à l’intérim. Les données du 2e trimestre 2021 dévoilent un taux de chômage régional en baisse (6,7 %) et inférieur au taux de chômage national (8 %). Au sein même des Pays de la Loire, les écarts sont importants entre les différents territoires. Certaines zones ont un taux de chômage inférieur à 5 % comme Les Herbiers en Vendée et Ancenis en Loire-Atlantique. Au contraire, d’autres zones dépassent les 8 % de chômage. C’est le cas d’Angers ou Le Mans, par exemple. En septembre 2021, les offres d’emploi enregistrées par Pôle emploi ont bondi de 30,5 % par rapport à septembre 2020. Les démissions ont, elles aussi, fait un bond de 20 % en un an. Enfin, la reprise du marché du travail signe aussi la reprise de l’intérim, marqueur fort des fluctuations de l’activité de l’emploi en France. L’intérim repart aussi à la hausse, particulièrement dans les Pays de la Loire. Fin 2021 les intérimaires de la région (62 491 intérimaires au 3e trimestre) représentaient 8 % de l’intérim national, soit la 6e région de France. Les métiers recherchés dans la région Pays de la Loire Entre septembre 2020 et septembre 2021, la région Pays de la Loire était en recherche d’employés et particulièrement pour certains postes : Assistances auprès d’adultes (7025 offres) Nettoyage de locaux (5 904

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Une enveloppe de 750 euros sera versée aux commerçants qui avaient réservé un emplacement. L’entrée en vigueur du deuxième confinement en novembre dernier avait définitivement scellé le sort du traditionnel marché de Noël, victime collatérale de la crise sanitaire. Comme à Angers, l’annulation de l’évènement a donné lieu à des situations conflictuelles entre son organisateur, la société 2A, et les enseignes qui avaient réservé un chalet pour s’offrir une vitrine commerciale lors de de cette période cruciale pour leurs affaires. Le contrat, signé au premier semestre 2020, introduisait dans ses clauses un « cas de force majeure » pour le cas où le marché devait ne pas avoir lieu, hypothèse qui paraissait très plausible à l’époque où ces commandes ont été passées. En vertu de cette nouvelle disposition, qui prenait en compte le risque représenté par la pandémie et un partage entre les parties prenantes de ses conséquences financières, le prestataire s’engageait à ne rembourser qu’une partie (50%) des acomptes versés par les locataires. Un point que contestent aujourd’hui une trentaine de commerçants, prompts à réclamer un dédommagement, sinon total, du moins plus conséquent : une procédure judiciaire déclenchée en ce sens par ce collectif d’ailleurs va déboucher sur la tenue d’une audience au tribunal de commerce le 26 janvier prochain. 6 000 euros d’investissement pour les commerçants En attendant, la Ville de Nantes avait annoncé, en décembre dernier, son intention de dénouer des contentieux en mettant un peu d’argent sur la table : les contours de ce dispositif ont été dévoilés ces derniers jours. Il se traduira par le versement d’une enveloppe de 750 euros pour chacun des locataires pénalisés par l’annulation du marché du Noël, une petite rallonge qui, en l’état, s’ajouterait à la part prise en charge par 2A Organisation. Ces sommes ne seront pas allouées directement aux commerçants avec lesquels la municipalité n’a pas de lien juridique. C’est donc bien le prestataire qui percevra ces fonds publics, à charge pour lui de les réaffecter aux exposants (89 d’entre eux seraient concernés par cette indemnisation). Pour info : le montant de la location représente un investissement de 6 000 euros environ pour un mois de manifestation. De son côté, l’organisateur déplore un niveau de pertes compris entre 90 000 et 150 000 euros lié à la seule annulation du marché de Noël nantais.

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Les coopératives funéraires sont des entreprises offrant des prestations funéraires éthiques « au prix juste » et dont la gestion de la société est désintéressée. Ce modèle originaire du Québec se développe à l’international et notamment en Angleterre et en France. Faisons le point sur ces nouveaux arrivants ! Les coopératives funéraires, les nouveaux acteurs qui bouleversent le marché du funéraire   En Angleterre, l’arrivée de Funeralcare CO-OP (Co-operative Group Limited) sur le marché a été un bouleversement pour les concurrents et notamment pour Dignity, l’un des leaders du marché. Offrant des prestations similaires à prix cassés, les coopératives ont gagné des parts de marché et les concurrents ont vu leurs marges s’écrouler en tentant de s’aligner. Il en était de même pour leurs investissements : n’étant plus capable de verser autant de dividendes, le cours de la bourse de Dignity a chuté depuis 2017. En France, c’est en 2016 que la Coopérative Funéraire de Nantes s’est implantée et a donné l’impulsion aux villes de Bordeaux (Sypres) et Rennes (Coopérative Funéraire de Rennes). Le public a particulièrement bien accueilli ces nouvelles sociétés arrivant sur un marché jugé parfois opaque. Malgré une domination des pompes funèbres traditionnelles dans les parts de marché, les coopératives funéraires françaises voient leur nombre d’adhérents augmenter au fil des mois. À Nantes, le nombre de société a franchi les 500 membres à fin 2019, en seulement 3 ans donc. Doit-on s’attendre à une diminution des coûts des funérailles grâce aux coopératives ?   Lorsque l’on se renseigne sur le marché du funéraire dans de nombreux pays, on peut lire « We can’t afford to die ». De nombreuses familles endeuillées rencontrent des difficultés financières suite à l’organisation de funérailles. En effet, ces coûts sont élevés dans de nombreux pays et ont d’ailleurs augmenté durant les 20 dernières années, dans des proportions bien supérieures à l’inflation. C’est notamment le cas en Angleterre et en France. Après des années d’augmentation des prix, la courbe semble finalement vouloir s’inverser sous plusieurs effets. Tout d’abord, avec la digitalisation, la comparaison des prestations et des tarifs devient plus accessible au grand public et les familles se renseignent avant de choisir leurs pompes funèbres. En ce qui concerne l’Angleterre, l’arrivée fracassante de CO-OP sur le marché a lancé une guerre des prix, les concurrents devant faire face, les tarifs diminuent de façon générale. Quelques années plus tôt, le modèle coopératif a également eu un impact baissier sur les prix au Québec. Ajouté à cela, les membres d’une coopérative bénéficient généralement de tarifs réduits sur leurs propres funérailles. À Nantes, ce mode de fonctionnement est également offert aux sociétaires. Enfin, depuis quelques années, les familles endeuillées semblent choisir des prestations funéraires plus simples, moins traditionnelles, avec moins d’options et donc moins coûteuses. Les coûts des funérailles diminuent donc également du fait des demandes des clients. Nous pourrions croire que la diminution des tarifs des pompes funèbres est en marche, toutefois, des acteurs semblent vouloir maintenir les prix à un certain niveau. C’est notamment le cas de Dignity en Angleterre qui

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Huit sites vont rouvrir à partir de ce mardi sur le territoire municipal. Mais dans des conditions sanitaires très strictes (15 commerçants et soixante clients maximum). Fermés depuis le 24 mars dans la cadre des mesures de confinement décrété par l’Etat pour enrayer la propagation du Covid-19, les marchés urbains, installés en plein air, vont progressivement être autorisés à se tenir de nouveau à Nantes. La Ville souhaite solliciter des dérogations en ce sens auprès de l’autorité préfectorale afin de répondre, localement « à des besoins d’approvisionnement alimentaire en proximité, dans les quartiers, et soutenir la filière agricole et économique » indiquent les services de Johanna Rolland dans un communiqué. Cette initiative, déjà prise par plusieurs communes de Loire-Atlantique début avril, est le fruit d’une concertation étroite menée entre l’Agence régionale de Santé (ARS), le représentant de l’Etat dans le département, la collectivité, mais aussi les commerçants et les producteurs qui se sont accordés, avec ces différentes strates administratives, sur un cahier des charges définissant des modalités d’application très strictes. 8 réouvertures dès mardi Le calendrier d’abord : en temps normal, 17 marchés alimentaires sont recensés sur le périmètre de la ville de Nantes. La moitié (8) va pouvoir redémarrer à partir du 21 avril, à commencer par ceux de Jean-Macé (8 heures-13 heures), Bourgeonnière (16-20 h) et Américains qui se tiennent habituellement le mardi. Suivra le lendemain Dervallières (8h-13h) puis, jeudi, Zola et Malakoff (8-13h), Saint-Joseph-de-Porterie samedi (8h-13h) et Doulon dimanche (8 heures – 13 heures). La réouverture de sept autres (Champs de Mars, Marché bio, Pirmil, Toutes Aides, Bottière, Marrière, Sainte Anne) sera envisagée « dans un second temps ». En revanche, les sort du marché de Petites Hollande reste en suspens. Celui de Talensac devrait, lui obtenir un feu vert prochainement, mais dans des conditions particulières liée à sa configuration en milieu couvert (halle). Une solution « par étapes et adaptées aux obligations sanitaires » sera privilégié de concert avec l’association des commerçants du quartier. Sur les sites autorisés, une jauge de 15 commerçants sera appliquée sur le principe d’un roulement hebdomadaire. Et des règles impératives seront à mettre en œuvre pour (faire) respecter la distanciation sociale : chaque étal devra être éloigné de son voisin d’au moins 8 mètres, un sens de circulation obligatoire pour le public sera matérialisé par un marquage au sol et un contrôle des accès (avec comptage, 60 personnes au plus) sera opéré à l’entrée du marché dont le périmètre sera strictement défini par des barrières, avec distribution de gel hydro-alcoolique à la clé. Devant les marchands, des signalisations vont être mises en place afin que chaque client dispose d’un espace de sécurité d’un mètre au moins (un service pour quatre personnes maximum sera imposé aux commerçants). Précision importante : un membre par foyer sera autorisé à se rendre au marché : un contrôle des attestations et des papiers d’identité à l’entrée sera effectué.

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La quinzaine de marchés recensés dans la ville ne se seront pas autorisés à réinstaller leurs étals. Une décision que la municipalité assume. A Nantes, les amoureux des produits frais, fruits, légumes ou poissons, devront attendre la levée du confinement pour faire leurs courses alimentaires sur les traditionnels marchés de plein air, vitrine et débouché économique pour les maraîchers et producteurs locaux : depuis le 24 mars dernier, l’Etat a interdit ces rassemblements commerciaux dans le cadre du durcissement de ses mesures sanitaires destinées ralentir la propagation du Covid-19, un coronavirus venu de Chine. Ce dispositif drastique et inédit a toutefois été assorti d’une souplesse administrative pour certaines communes où cette source d’approvisionnement est « vitale » pour des populations moins urbaines et plus isolées: possibilité leur a été offerte de solliciter des dérogations préfectorales afin que leur marché puisse se tenir à condition qu’y soit strictement respectés les consignes dites de distanciation sociale et les « gestes barrières ». Après avoir été contraints de laisser leurs étals pliés le week-end dernier, faute d’autorisations, 25% des marchés alimentaires vont faire leur retour cette semaine, a annoncé aujourd’hui la Fédération professionnelle du secteur et le ministère de l’Agriculture. Les feux verts délivrés par les autorités concernent surtout les petits rassemblements de moins de dix commerçants dans les bourgs ruraux et les localités situées en dehors des grosses unités urbaines. Néanmoins, certaines métropoles comme Lille, Rennes ou Grenoble ont obtenu des dérogations. Qu’en est-il en Loire-Atlantique ? Une soixantaine de municipalités ont eu l’aval de la Préfecture, dont Ancenis, Couëron, La Baule ou Saint-Nazaire. Près de Nantes, le marché de Pont-Saint-Martin a pu s’installer samedi dernier, certes avec un plateau réduit de commerçants et dans un climat inhabituel où les interactions étaient réduites à leur maximum. Dans la ville-centre de l’agglomération, des voix se sont élevés, notamment parmi les marchands qui louent habituellement un espace place de Talensac, pour réclamer la même autorisation. Mais l’a municipalité a fait savoir qu’elle n’effectuerait pas de démarches en ce sens auprès des représentants de l’Etat : dans un communiqué, les services de Johanna Rolland disent avoir « considéré que cette mesure de confinement était utile » pour répondre à « cet impératif absolu » qu’est de « freiner la propagation du virus ». : Et d’ajouter que, dans le contexte actuel, « il ne sert à rien d’opposer les décisions des uns ou des autres, de comparer la situation et la gestion sanitaire de villes qui ont des configurations et des tailles différentes ». La Ville précise toutefois chercher des solutions aptes à « favoriser un approvisionnement en circuit court et sécurisé par les producteurs ». Rappelons que 14 marchés alimentaires fonctionnaient à Nantes avant que les mesures sanitaires n’interdisent leur tenue : outre Talensac (quotidien, sauf le lundi), Américains et Jean-Macé avaient lieu le mardi, Bouffay, Châtelets et Ralliement le mercredi, Zola, Pont-du-Cens et Sainte-Anne le jeudi, Marrière le vendredi, Saint-Joseph-de-la-Poterie, Dervallières, Petite Hollande la samedi, et Doulon le dimanche.

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Les acheteurs publics mettent très rarement en avant le critère RSE au sein d’appel d’offres sur des sites comme France Marché (site d’appel d’offres de la presse) ou encore le BOAMP (marchés publics). En cause : une décision du Conseil d’État. La RSE comme critère dans les appels d’offres ? La RSE, pour Responsabilité Sociale des Entreprises, prend en compte les pratiques à visée sociale, environnementale et économique des entreprises. Limitation et évaluation de l’empreinte écologique, emploi de travailleurs handicapés, respect de l’égalité homme-femme s’inscrivent par exemple dans une démarche RSE. La commande publique, qui représente plus de 100 milliards d’euros annuels, joue un rôle crucial dans l’impulsion de cette démarche RSE. Et le code de la commande publique (article L 3111-1) prévoit justement que « la nature et l’étendue des besoins à satisfaire [soient] déterminées avant le lancement de la consultation en prenant en compte des objectifs de développement durable dans leurs dimensions économique, sociale et environnementale. » Or, en 2018, Nantes Métropole s’est vue sanctionnée pour l’utilisation d’un critère RSE, pondéré à 15%, dans le cadre d’un marché d’impression. La société Chiffoleau, dont l’offre avait été rejetée, avait saisi le juge des référés du tribunal administratif (TA) de Nantes, soutenant que le critère RSE ne pouvait déterminer le choix de l’attributaire de l’appel d’offres, faute de lien avec l’objet du marché. Le juge avait fait droit à la demande de l’imprimeur, et avait donc annulé la procédure de passation de cet accord-cadre. Le Conseil d’État, saisi ensuite par la collectivité, a confirmé la position du TA, estimant que le critère RSE ne s’attachait pas aux « éléments spécifiques de réalisation des travaux d’impression prévus par le contrat ». Faute d’être suffisamment liée à l’objet du marché ou à ses conditions d’exécution, la RSE ne pouvait donc pas être considérée comme un critère de marché public. Concilier insertion de critères RSE et sécurité juridique ? Depuis cette décision du Conseil d’État, les acheteurs publics restent frileux à l’utilisation du critère RSE, tandis que les entreprises ne mettent que rarement en avant cet argument jusqu’alors distinctif. Le secrétaire d’État Mounir Mahjoubi a donc rappelé que « cette décision n’interdit pas d’utiliser les critères de RSE ; elle indique seulement que ces critères doivent avoir un lien avec l’objet du marché. Elle ne doit donc pas avoir pour effet d’annuler les politiques des collectivités locales et les politiques d’achat public qui, depuis bientôt deux ans, ont permis l’introduction de nouvelles clauses sociales et environnementales, et de nouvelles clauses d’engagement pourvu qu’elles aient – c’est important – un rapport direct avec l’objet du marché. » Les critères sociaux et environnementaux, s’ils présentent un lien suffisamment direct avec l’objet du marché ou ses conditions d’exécution, peuvent donc être pris en compte pour l’attribution ou l’exécution d’un marché public. Les acheteurs auraient tort de s’en priver : les entreprises inscrites dans une démarche RSE sont en moyenne 13% plus performantes, selon France Stratégie. A la clé : des résultats très positifs en termes d’emploi,

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À compter du 1er octobre 2018, la dématérialisation des marchés publics devient obligatoire. Par conséquent, toutes les offres doivent être remises sous format électronique. En cas de remises sous format papier, les offres seront déclarées irrégulières et non analysées. Cette dématérialisation implique aussi des changements pour les collectivités. Le code des marchés publics a été abrogé en 2016. Avec la réforme du droit de la commande publique entrée en vigueur au 1er avril 2016 et conformément aux nouvelles règles européennes, les dispositions mises en place pour le 1er octobre 2018 répondent à deux objectifs : – la dématérialisation de la procédure des marchés publics – et l’ouverture au public des données essentielles des marchés publics (« open data »). Antoine Martin, du portail d’appel d’offre France Marchés, le confirme : « une entreprise doit nécessairement passer par la voie de la dématérialisation si le montant de ce marché dépasse les 25.000 euros. Pour se faire elle doit se rendre sur la plateforme de l’organisme public, dénommée « Profil d’acheteur », afin de déposer sa candidature, échanger des documents et procéder à la signature électronique ». Depuis quelques années, certaines communes mettent en place progressivement des actions en faveur de la dématérialisation via une plate-forme numérique : – publication des avis de consultation – retrait des Dossiers de Consultation des Entreprises (DCE) – possibilité pour les candidats de poser des questions, avoir des précisions et déposer leurs offres électroniquement Actuellement, certaines communes notifient l’attribution d’un marché par mail avec avis de réception. Elles s’engagent déjà dans l’ouverture des données relatives aux informations essentielles de l’entreprise titulaire du marché par un affichage sur l’avis d’attribution. Pour aller plus loin dans cette démarche et répondre aux exigences réglementaires, les collectivités peuvent aussi mettre en place progressivement d’autres outils tels que l’acquisition d’un certificat de déchiffrement pour crypter les plis, des certificats pour la signature électronique, faire les notifications d’attribution via la plate-forme, renforcer la visibilité des procédures de consultation et des marchés conclus les années précédentes.

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Aujourd’hui, Nantes est considérée comme l’une des 3 villes de province les plus dynamiques en terme d’écosystème numérique avec Lille et Lyon. Depuis 2014 où elle a été labellisée « French Tech », la ville a vu la naissance de nombreux projets de startups. Comment faire pour lancer votre startup à Nantes ? Startup : les étapes à suivre pour entreprendre à Nantes La ville de Nantes réunit toutes les conditions qui attirent les startuppers à s’y installer, y compris ceux qui envisagent d’externaliser la plupart de leurs activités dans un call center à Madagascar (suivre ce lien pour plus d’infos). Elle est idéalement située à deux heures de la capitale française et se trouve à proximité de l’Atlantique, un peu plus d’une demi-heure. Nantes attire également par la qualité de vie qu’elle offre, notamment au niveau économique puisque les loyers y sont moins chers et les salaires plus élevés. Créer une startup à Nantes permet également d’optimiser sa visibilité par rapport à Paris qui accueille déjà de nombreuses jeunes entreprises se noyant dans la masse. La première étape pour créer votre startup consiste à trouver une idée d’activité. Ensuite, il est indispensable de faire une étude de marché pour étudier la faisabilité de votre projet. Pour cela, vous devez analyser les tendances du secteur que vous avez choisi, lister vos concurrents et vous informer des aspects règlementaires et technologiques qui régissent votre métier. Vous devez également miser sur la communication en créant un site internet ou un blog pour augmenter votre visibilité auprès des potentiels clients. Si vous avez besoin d’un accompagnement, vous pouvez solliciter l’aide d’organismes et associations présents à Nantes et qui proposent de former les jeunes créateurs d’entreprise à mettre en place et à développer leurs projets dans les meilleures conditions. Les incubateurs de start-ups sont du reste nombreux dans la ville. Startup à Nantes : externalisez vos activités via un call center Madagascar L’externalisation n’est pas une démarche réservée aux grandes structures, mais elle est également utile aux petites entreprises émergentes. Grâce à l’externalisation, vous pouvez vous recentrer sur la principale activité de votre startup et déléguer les tâches chronophages et à faible valeur ajoutée à un prestataire externe. Comme l’externalisation permet de réduire considérablement les frais de gestion et les charges liées au personnel, vous serez en mesure de réinvestir les économies réalisées pour développer vos activités ou pour accroître votre trésorerie. Madagascar est l’un des pays où il est conseillé de domicilier certaines de vos activités puisqu’il se trouve dans un secteur favorable à la réduction des coûts. Au lieu de tout gérer dans votre startup à Nantes, profitez de l’expertise et du savoir-faire d’un prestataire externe. Avant de conclure l’externalisation de vos activités avec un prestataire à Madagascar, veillez à vous assurer de l’expérience, des qualifications et des compétences de son équipe. Pour la sécurité de votre startup, il convient également de choisir un prestataire externe qui s’engage à travailler en toute confidentialité.

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La Cité des Ducs de Bretagne est considérée comme une ville où il fait bon travailler. De nombreux entrepreneurs décident d’ouvrir une entreprise à Nantes. Par conséquent, de plus en plus de personnes décident d’y emménager. Les prix des logements anciens ont connu une forte progression les 12 derniers mois. Toutefois, le prix immobilier nantais est encore très attractif. La métropole nantaise attire de plus en plus d’investisseurs et d’entrepreneurs français et étrangers. Compte tenu de l’environnement économique et social très favorable aux investissements, Nantes passe pour une ville où il fait bon vivre et travailler. Le secteur immobilier a le vent en poupe depuis quelques années déjà. Les logements anciens connaissent une forte augmentation des prix. Pourquoi les entrepreneurs préfèrent Nantes ? La Cité des Ducs de Bretagne est située à moins de 2h de train de Paris. Ainsi, il est très facile de se rendre à Paris pour participer à des salons professionnels ou à d’autres évènements qui vous intéressent. La ville de Nantes offre également un cadre de vie à part. Les écoles de renommée internationale qui se sont installées dans la région suscitent l’intérêt d’un très grand nombre d’étudiants. En outre, les parcs attentivement soignés tout au long de l’année font la part belle aux personnes passionnées de nature qui aiment faire du yoga ou lire leurs romans préférés en plein air. La métropole nantaise exerce une forte attractivité. Collaborer avec des professionnels de l’immobilier La Venise de l’Ouest est une ville très dynamique. Certaines personnes préfèrent investir dans un logement neuf, alors que d’autres optent plutôt pour une maison ancienne. Pour réussir votre projet, pensez à vous faire accompagner par des agents immobiliers. Ils peuvent vous donner des conseils en tenant compte de votre budget et de l’évolution du marché nantais. Ces derniers mois, le prix immobilier nantais a augmenté de plus de 5%. En dépit de cette tendance à la hausse, le marché immobilier de la Cité des Ducs de Bretagne attire de nombreux acheteurs immobiliers. Au mois de mars 2018, le mètre carré coûtait 3.394 euros en moyenne à Nantes, alors qu’en France un bien dans l’ancien était de 3.579 euros du m2. Les professionnels du Cabinet Thierry Immobilier vous accompagnent dans le choix de votre logement et vous suggèrent diverses solutions afin que vous puissiez négocier efficacement le prix de vente des biens. Ils vous donnent des conseils tout en tenant compte de vos besoins et exigences. Si vous ne disposez pas du temps nécessaire pour réaliser des visites des biens, les spécialistes du cabinet peuvent vous proposer des visites 360º.

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Suite à la crise économique des années 2008-2009, de plus en plus de français ont dirigé leur attention vers les offres d’emplois des grandes métropoles telles que Lyon, Nantes, Montpellier, Bordeaux ou Toulouse. Pour trouver un logement qui répond à vos attentes, il est recommandé de demander l’accompagnement des agents immobiliers.   Selon les statistiques récentes, Nantes et Lyon sont les deux métropoles les plus attractives et les plus dynamiques de l’Hexagone, hormis Paris. L’économie de ces deux métropoles est généralement considérée comme robuste et diversifiée. Les Français peuvent y trouver assez facilement des emplois à haute valeur ajoutée. Quels sont les logements où il fait bon vivre ? Depuis la crise des années 2008-2009, Lyon a su faire preuve d’une extraordinaire capacité de résilience. En ce qui concerne Nantes, l’agglomération a réussi également à obtenir les dernières années de solides performances économiques. A la suite de ces deux pôles économiques très importants de France, les métropoles de Montpellier, Bordeaux, Grenoble et Toulouse émergent elles aussi dans le classement. Afin de trouver plus facilement un logement adapté à vos besoins, vous pouvez demander l’aide des agents immobiliers. Ils vous proposent des appartements et des maisons où il fait bon vivre. Acheter un appartement à des coûts maîtrisés Pour étudier le développement économique des plus grandes métropoles de France, les analystes ont tenu compte de plusieurs aspects essentiels, tels que le capital humain, la qualité de vie, la connectivité, la capacité d’accueil pour les entreprises, le potentiel de croissance et la santé des marchés tertiaires. Ils sont arrivés à la conclusion que les grandes et très grandes métropoles concentrent aujourd’hui 21% de la population française et 82 % des créations d’emplois. Les professionnels qui veulent y emménager rencontrent parfois des difficultés à louer ou à acheter un logement à des coûts maîtrisés. Les experts du Cabinet Thierry Immobilier vous proposent des services sur mesure pour que vous réussissiez à acheter, à louer ou à vendre des biens immobiliers à Nantes et à Saint-Nazaire. Ils vous donnent des conseils personnalisés en tenant compte des lois en vigueur. Les professionnels du cabinet sont spécialisés dans la gestion des transactions immobilières. Pour simplifier votre vie, ils vous offrent un service de déménagement rapide et efficace. Grâce à leur savoir-faire, vous pouvez emménager sans grands efforts à Nantes, à La Baule, à Saint-Nazaire ou à d’autres villes de la région.

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