Ce jeudi, la grève nationale va très fortement perturber la circulation des transports collectifs. Des TGV au tramway, en passant par les cars scolaires, le mouvement de grève interprofessionnel qui se tient ce jeudi, risque localement de bousculer les habitudes des nantais. Sur le terrain, la manifestation programmée en centre-ville à partir de 10 heures entraîne, dès la matinée, des perturbations dans la desserte habituellement assurée par les bus et les tramways. Ces ajustements dans la fréquence des passages et les itinéraires sont d’autant plus sensibles que la Semitan, qui exploite le réseau, est aussi visé en interne par d’importants appels à la mobilisation, formulés par deux syndicats : jusqu’à 14h30, plusieurs lignes de tramway sont coupées, entre les stations « Médiathèque » et « Manufacture » (ligne 1), entre « 50 Otages » et « Gare de Pont-Rousseau » (ligne 2), et entre « Bretagne » et « Hôtel Dieu » (ligne 3). Des aménagements analogues sont prévus sur le réseau chronobus. Dans les terminus provisoires, mis en place pour éviter le croiser la route des manifestants, « du personnel de la Semitan est déployé pour informer les passagers et les aider dans leurs déplacements » annonce, dans un communiqué la société d’économie mixte. La quasi-totalité des lignes de bus 10 à 29, qui traversent le centre-ville, fonctionnent en horaires « jour jaune » (ceux du samedi et de vacances d’été). Une vingtaine de lignes périphériques conservent un trafic normal de semaine, sous réserve de débrayages. Presque pas de TGV A la gare SNCF en revanche, c’est bien la « paralysie » du trafic qui guette les voyageurs. Et le mot n’est pas trop fort : un TGV sur dix est annoncé sur l’ensemble de l’axe Atlantique, un Ouigo sur six, et la circulation sera nulle sur le réseau « intersecteurs ». Sur le circuit régional, les bus se substituent au rail dans l’immense majorité des cas. Depuis Nantes, les trajets directs vers Bordeaux et Lyon sont annulés. La desserte diurne des trains Intercités est également réduite à la portion congrue (un sur dix, et aucun de nuit). D’importants mouvements de grève se préparent dans les écoles, dans des proportions qu’il est encore difficile de mesurer : mais 111 établissements (sur 112) connaissent, à des degrés divers, des perturbations. Un service minimum est assuré par les municipalités concernées. Parallèlement, seize lignes de cars scolaires sont à l’arrêt.

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Pour Noël, les magasins du centre-ville vont profiter de dérogations les autorisant à accueillir le public sur trois jours qui, ordinairement, devraient être chômés : les 1er, 15 et 22 décembre. A Nantes, la question des ouvertures dominicales a souvent donné lieu à de rudes passes d’armes entre chefs d’entreprises, institutions économiques, pris en sandwich par des syndicats et des élus locaux qui n’hésitaient pas à politiser le débat. On se souvient de la ferme opposition de l’ancien maire Jean-Marc Ayrault à tout projet de libéralisation visant à desserrer les règles encadrant l’obligation de repos hebdomadaire, quel que soit le contexte économique. Il y a cinq ans toutefois, une porte s’était ouverte par la voie du dialogue : les partenaires sociaux, réunis autour d’une table, avaient signé un accord qui prévoyait la possibilité, pour les enseignes du centre-ville de Nantes et ceux des bourgs de la métropole, deux puis trois dimanches en décembre. Ce régime, renouvelé en 2018, 2019 et 2020, était plus restrictif pour les grandes surfaces afin de soutenir le petit commerce de proximité. Sauf qu’en-temps, la loi Macron a fait son eouvre et nombre de distributeurs ont élargi leurs horaires le dimanche matin, comme le leur autorisent les textes officiels (jusqu’à 13 heures pour le secteur alimentaire). Les transports gratuits Quoi qu’il en soit, le shopping sera, en cette période de Fêtes, possible trois dimanches : le 1er décembre 2019, puis les 15 et 22. Quid de 2020 ? La même formule s’appliquera, à ceci près que les autorisations ne seront pas adressées aux supermarchés périphériques d’une surface supérieure à 400 m². L’été dernier, les signataires de l’accord avaient ainsi annoncé, pour tous les autres, et dans la périmètre de l’agglomération, deux ouvertures les 6 et 20 décembre (entre 12h et 19 h), avec possibilité de solliciter une troisième le 13, pour les boutiques des centres-villes. Le mois prochain, l’opération, qui vise à soutenir le petit commerce indépendant, particulièrement pénalisé depuis plusieurs années par les manifestations à répétition, s’accompagnera de mesures concrètes pour faciliter le transport et le stationnement du public : une heure gratuite sera mise en place les dimanches 15 et 22 décembre dans les principaux parkings de l’hypercentre (Commerce – Feydeau – Decré-Bouffay – Talensac – Graslin et la Tour Bretagne). Parallèlement, tramway et bus seront en libre-service lors des week-ends du 14 et 21, les deux derniers avant Noël.

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Un 44ème round se prépare dans le centre-ville. Le rendez-vous pourrait drainer des manifestants bine au-delà du département. D’ores-et-déjà, la Préfecture a pris des mesures afin d’interdire l’accès du défilé à certains secteurs. Les transports collectifs circuleront, eux, au compte-gouttes tout l’après-midi. Ce samedi 14 septembre va-t-il signer le grand retour des gilets jaunes ? Si les appels à manifester diffusés sur les réseaux sociaux trouvent l’écho escompté, il faut s’attendre à rassemblements d’importance à Nantes, choisi comme un point de ralliement national par certains organisateurs. S’il est impossible de faire des estimations sur le nombre de participants (extérieurs notamment) qui se présenteront demain sur l’ensemble du territoire de l’agglomération, la Préfecture a préféré prendre les devants et d’interdire au défilé d’accéder aux secteurs les plus commerçants, au plus près de l’hyper-centre, un secteur hautement sensible. Le pique-nique organisé place du Général Mellinet sera autorisé. De même, la Cour des 50 otages restera « ouverte ». Pour le reste, un cordon de sécurité enserrera un large périmètre depuis la place Delorme, « un lieu stratégique où se trouvent des services institutionnels et de nombreux commerçants », que les autorités souhaitent préserver. Le quai Ceineray, sur lequel donne le bâtiment de la Préfecture, sera également interdit, comme les cours Saint-André et Saint-Pierre où se tient la fête foraine. Cet acte 44 du mouvement des gilets jaunes aura inévitablement des conséquence sur la circulation des transports en commun : sur la ligne 1 , le tramway cessera de fonctionner sur une portion comprise entre la médiathèque et la station Duchesse-Anne, entre 13 heures et 20 heures. Les dessertes entre Bretagne et Hôtel Dieu seront également interrompues. A l’image du dispoitif qui avait été déployé lors de manifestation du 3 août dernier (1 700 participants et 42 interpellations), des contrôles de police pourraient se dérouler en divers points de l’agglomération  et à la gare. Bine évidemment, des arrêtés ont été pris afin de prohiber le transport de carburant dans des jerrycans ou des bidons. Même mesure pour les objets possiblement convertibles en armes et les « engins pyrotechniques ».

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La métropole de Loire-Atlantique, qui a mis en place des aides à destination des commerçants pénalisés, chaque samedi, par les défilés à répétition des gilets jaunes, devrait recevoir 300 000 euros d’un fonds de soutien constitué au niveau de l’Etat. Le mouvement des gilets jaunes, qui s’est déclenché le 17 novembre dernier en réaction à la hausse des prix du carburant, aggravé par la mise en place d’une taxe carbone, a bourgeonné six mois durant dans la plupart des villes de France autour d’une base revendicative disparate dont l’évolution générale, à mesure que les cortèges perdaient en volume, tendait à la radicalisation. Ces mises en scène parfois extrêmes se sont parfois traduites dans les paroles et, ponctuellement, dans les actes sous la conduite de « casseurs » prêts à en découdre avec les forces de l’ordre, au mépris des vitrines. A Nantes, les commerçants ont été des victimes plus que collatérales de ces face-face. A tel point qu’à la fin du mois de février, au moment de la clôture des soldes d’hiver et après quatre mois d’un conflit perlé sur un rythme hebdomadaire, près de 7 commerçants nantais sur dix déploraient sur la période un chiffre d’affaires en baisse de 10 à 30% par rapport à la normale (source : Chambre de Commerce et d’Industrie). 34 communes aidées en France Quelques semaines auparavant, la municipalité annonçait la mobilisation d’un fonds de 500 000 euros pour accompagner financièrement les commerçants les plus pénalisés. Ce dispositif local exceptionnel, principalement distribué sous la forme d’aides indirectes et de remises fiscales (gels de la taxe séjour et des droits perçus sur les enseignes et pré-enseignes) devait s’ajouter à d’autres mesures de soutien débloquées à l’échelon national, par l’Etat donc. Initialement doté à hauteur de 3 millions d’euros -à répartir sur l’ensemble du territoire-, ce fonds de soutien dévoilé fin janvier par le premier ministre Edouard Philippe, sera finalement porté à 5 millions. Ainsi l’a annoncé Matignon dans un communiqué diffusé ce mercredi, en annexe duquel figure la liste des 34 communes éligibles (dans un total de 11 régions françaises) : outre Nantes (Pays de la Loire), Rennes, Brest, Quimper (Bretagne), Rouen (Normandie) et Bordeaux (Nouvelle Aquitaine) ont été retenus. Selon le quotidien Ouest-France, la quote-part réservée à la capitale ligérienne serait de l’ordre de 300 000 euros. D’après une estimation globale effectuée par la Fédération française de l’assurance (FFA), la facture liée aux actes de vandalisme commis en marge des manifestations des Gilets jaunes s’élève à 200 millions d’euros entre novembre et mars : 87% de cette somme représentent l’ensemble des indemnisations versées au titre des dégradations et des pertes d’exploitation induites.

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Le premier ministre se rend au siège du Conseil régional afin de signer un contrat visant à améliorer l’accessibilité du territoire après l’abandon du projet d’aéroport à Notre-Dame-des-Landes. Visite ministérielle aujourd’hui à Nantes. Et pas des moindres : le chef du gouvernement Edouard Philippe arrive en matinée (10 heures) accompagné du local de l’étape, François de Rugy, promu ministre de la Transition écologique après la démission de Nicolas Hulot en septembre dernier. Ce binôme médiatique sera rejoint par les responsables de deux portefeuilles stratégiques, Jacqueline Gourault, en charge de la Cohésion des territoires, et Elisabeth Borne, ministre des Transports. Ces quatre personnalités nationales se rendent au siège du Conseil régional des Pays de la Loire, sur l’Ile de Nantes. L’institution, dirigée par Christelle Morançais, va être le théâtre d’une signature, celle d’un contrat d’avenir dont le contenu a été adopté en juillet 2018 après une série de concertations menées dans le cadre d’un « parlement des territoires » réuni à l’initiative de la présidente ligérienne. Ce document présente une série de mesures d’aménagement visant à compenser l’abandon du projet très décrié d’aéroport à Notre-Dames-des-Landes au profit d’une rénovation de l’actuelle infrastructure de Bouguenais, Nantes-Atlantique. Objectif : améliorer l’accessibilité de considérée à l’échelle du grand ouest. C’est à ce titre que le premier ministre se rendra également, ce même jour, à Rennes, siège du conseil de Bretagne voisin, afin de signer un contrat stratégique de même nature. Indemnisation pour les riverains de l’aéroport A Nantes, il s’agira de fixer les modalités de la restructuration de Nantes Atlantique et l’aménagement de ses accès routiers. Au menu également : les questions relatives au franchissement de la Loire dont les élus souhaitent que l’Etat s’engage afin de de faire émerger de nouveaux équipements aptes à désengorger le pont de Cheviré et connecter plus efficacement les deux rives au cœur de l’agglomération. Le contrat d’avenir propose aussi une amélioration des connexions ferroviaires avec l’Ile-de-France, des investissements d’ampleur pour développer le port de Nantes-Saint-Nazaire et accroître la capacité des grands axes routiers régionaux. Les décideurs nantaises souhaitent également une participation de l’Etat dans le financement des mesures d’indemnisation versée aux riverains de l’actuel aéroport dont les habitations sont survolées par les avions. Le texte paraphé par Edouard Philippe met enfin en exergue trois autres priorités : davantage de moyens pour la recherche et de l’enseignement supérieur, l’accélération de la transition numérique et l’accompagnement de la transition écologique.

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L’ex-attaquant des Canaris, vendu à Cardiff City lors du Mercato hivernal, se trouvait lundi soir à bord d’un avion privé en partance pour le Pays de Galles. L’appareil a disparu des écrans radar à hauteur  de Guernesey. Les heures s’étirent à l’infini au centre d’entraînement du FCN : Emiliano Sala, attaquant vedette du club (48 buts en 133 matchs de Ligue 1) , transféré en fin de semaine dernière à Cardiff City (Pemière League anglaise), n’a plus donné signe de vie depuis son départ de l’aéroport Nantes-Atlantique lundi soir vers 20h15. Après avoir salué ses ex-coéquipiers à La Jonelière, il avait embarqué à bord d’un petit avion de tourisme en partance pour la Grande-Bretagne. Entraînement annulé et match reporté Or, dans la nuit, la presse anglaise a révélé qu’un appareil, semblant correspondre à celui qui transportait le footballeur argentin (28 ans), n’est jamais parvenu à destination. Le pilote aurait perdu le contact avec les personnels du contrôle aérien basé à Jersey aux alentours de 21heures, alors qu’il survolait l’Ile de Guernesey. Ce matin, le FCN a confirmé qu’Emiliano Sala se trouvait bien à bord du « Piper PA-46 Malibu », en compagnie d’un autre passager. Dès hier soir, une opération de sauvetage a été menée « au nord d’Aurigny », une ile anglo-normande où deux hélicoptères ont sillonné le secteur, en liaison avec des embarcations d’urgence déployées en mer. Aucune trace du monomoteur n’a toutefois été repérée par les secouristes. Mardi matin, alors que les recherches se poursuivent au large de Guernesey, un météorologiste britannique, Mark Wilson, indiquait que les conditions de vol n’étaient pas si difficiles entre Nantes et Cardiff, « quelques orages épars et peu intenses et un vent modérément fort, autour de 30km/h ». Sous le choc, les dirigeants du FCN ont annulé l’entraînement qui devait se dérouler ce matin à La Jonelière. De son côté, le président de Cardiff City, interrogé par la presse, disait vouloir « attendre confirmation avant d’en dire plus ». Il s’est toutefois dit « très inquiet pour la sécurité d’Emiliano Sala». Réaction de Kita Le match des 16èmes de finale de la Coupe de France que devait disputer le FC Nantes face à l’Entente Sannois Saint-Gratien cette semaine (mercredi à 18h30) a été annulé et reporté sine die par la Fédération Française de Football. Plusieurs médias ont recueilli la réaction de Waldemar Kita, président du FCN, à l’origine du transfert hivernal de Sala vers Cardiff : « Emiliano est un garçon poli, gentil, adorable,  toujours respectueux des autres et adoré par tout le monde. Hier, il a a voulu absolument dire au revoir à tous ses copains du club. Personnellement, je n’étais pas au courant de sa présence à Nantes. Je pense à sa famille et ses proches amis. Le reste on ne sait pas encore. Je suis toujours dans l’espoir que tout n’est pas terminé et qu’on va le retrouver quelque part»

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Deux établissements seront très prochainement rayés de la carte du centre-ville au profit de « points relais » gérés par des commerçants de proximité. En 2017, La Poste avait annoncé la suppression de « 9 à 14 » bureaux sur le territoire nantais, sans pour autant fixer de calendrier précis. Près de deux ans plus tard, cette feuille de route, partiellement mise en œuvre, faute, pour les dirigeants du groupe, d’avoir établi une liste définitive des sites concernés, va connaître une accélération dans les toutes prochaines semaines : selon une information divulguée par la CGT, puis confirmée par l’entreprise, les bureaux Champ de Mars et Décré seront très bientôt fermés, dès le 28 février pour le premier, et à partir du 24 avril pour le second. Cette cure d’amaigrissement, opérée au compte-gouttes, s’est déjà traduite par la disparition de deux établissements au cours de ces deux dernières années : il s’agissait de Saint-Donatien et Longchamp, vidés de l’intérieur pour être reconstitués, sous forme de simples points relais, chez des commerçants riverains. Dans d’autres quartiers, Saint-Joseph ou Saint-Jacques, initialement voués au même sort, semblent encore résister, vaille que vaille, sous la pression des habitants et des acteurs locaux, associatifs et même parfois politiques. Partenariat conclu avec des bars et des supermarchés La Poste, qui positionne sa communication sur une logique de « réorganisation » ou d’ « évolution » de son réseau, rendue nécessaire par la baisse d’activité aux guichets (-27% depuis cinq ans à l’échelle de la métropole nantaise), se refuse à parler de licenciements : elle assure que des redéploiements de personnels seront effectués les sites de Talensac, Bretagne ou République. Elle esquive également les réprobations des usagers et des élus qui plaident en faveur du maintien d’un service public de qualité : « Les activités seront transférées dans des commerces situés à proximité » souligne le groupe, ajoutant que « l’amplitude des horaires de ces relais-poste correspondent davantage aux besoins de la demande. » La plupart de ces contrats de partenariat sont signés avec des bars-tabac ou des supermarchés, lesquels réceptionnent le courrier et le remettent directement aux destinataires, moyennant une (modique) rémunération versée par La Poste. Dans ces commerces, il également possible d’affranchir une lettre ou d’envoyer un recommandé.

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Le projet d’une nouvelle ligne entre Rennes et Redon visant à améliorer la liaison avec Nantes a été inscrit dans la première mouture du projet de loi d’orientation des mobilités. Des études seront menées avant 2022. Rejoindre Rennes par le train en moins d’une heure : beaucoup de nantais en rêvent et la réciproque est vraie pour les usagers de la capitale bretonne. Or, il semble acquis aujourd’hui qu’un tel objectif est conditionné par la construction d’une nouvelle ligne sur la portion Redon-Rennes. Un projet partiellement validé par le gouvernement qui l’a inscrit lundi dans l’annexe de son projet de loi d’orientation des Mobilités, porté par la ministre des Transports Elisabeth Borne. Ce nouvel aménagement ferroviaire s’inscrirait dans la logique anti-diesel engagée par l’Etat : localement, il permettrait notamment de décongestionner la RN137 qui, entre Loire-Atlantique et Ille-et-Vilaine, relie les deux métropoles , un axe routier emprunté chaque jour par plusieurs dizaines de milliers d’automobilistes. Comment transférer ce flux individuel vers le transport collectif ? A l’heure actuelle, la liaison par TGV n’est pas assez attractive : le voyage est jugé trop long (1h15) et la fréquence des départ irrégulière. Des critiques qui ont conduit la SNCF à densifier le trafic, passé de 7 à 10 trajets quotidiens en 2017 sur la nouvelle LGV. Non sans succès. Les chiffres compilés depuis près de deux ans confirment en effet que la demande est forte : le nombre de passagers a progressé de 19 % pour s’établir à 172.000. Et la dynamique se vérifie encore en 2018 (+3 à 4 %). Le programme défendu par le gouvernement vise à améliorer la performance de la liaison en créant un nouveau tronçon à partir de Redon, carrefour ferroviaire entre Nantes d’un côté, et Quimper de l’autre (Bretagne sud). « Les études seront lancées dans le quinquennat » a annoncé l’Etat. D’après un élu régional breton, dont les propos ont été relayés par Ouest France, les expertises menées sur le terrain ont conclu « que la seule amélioration de l’infrastructure n’entraînerait pas un gain de temps suffisant ». Un sujet hautement sensible dans les rangs écologistes qui redoutent des conséquences environnementales pour la vallée de Vilaine. Le débat est donc loin d’être clos.

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La Cité des Ducs de Bretagne est considérée comme une ville où il fait bon travailler. De nombreux entrepreneurs décident d’ouvrir une entreprise à Nantes. Par conséquent, de plus en plus de personnes décident d’y emménager. Les prix des logements anciens ont connu une forte progression les 12 derniers mois. Toutefois, le prix immobilier nantais est encore très attractif. La métropole nantaise attire de plus en plus d’investisseurs et d’entrepreneurs français et étrangers. Compte tenu de l’environnement économique et social très favorable aux investissements, Nantes passe pour une ville où il fait bon vivre et travailler. Le secteur immobilier a le vent en poupe depuis quelques années déjà. Les logements anciens connaissent une forte augmentation des prix. Pourquoi les entrepreneurs préfèrent Nantes ? La Cité des Ducs de Bretagne est située à moins de 2h de train de Paris. Ainsi, il est très facile de se rendre à Paris pour participer à des salons professionnels ou à d’autres évènements qui vous intéressent. La ville de Nantes offre également un cadre de vie à part. Les écoles de renommée internationale qui se sont installées dans la région suscitent l’intérêt d’un très grand nombre d’étudiants. En outre, les parcs attentivement soignés tout au long de l’année font la part belle aux personnes passionnées de nature qui aiment faire du yoga ou lire leurs romans préférés en plein air. La métropole nantaise exerce une forte attractivité. Collaborer avec des professionnels de l’immobilier La Venise de l’Ouest est une ville très dynamique. Certaines personnes préfèrent investir dans un logement neuf, alors que d’autres optent plutôt pour une maison ancienne. Pour réussir votre projet, pensez à vous faire accompagner par des agents immobiliers. Ils peuvent vous donner des conseils en tenant compte de votre budget et de l’évolution du marché nantais. Ces derniers mois, le prix immobilier nantais a augmenté de plus de 5%. En dépit de cette tendance à la hausse, le marché immobilier de la Cité des Ducs de Bretagne attire de nombreux acheteurs immobiliers. Au mois de mars 2018, le mètre carré coûtait 3.394 euros en moyenne à Nantes, alors qu’en France un bien dans l’ancien était de 3.579 euros du m2. Les professionnels du Cabinet Thierry Immobilier vous accompagnent dans le choix de votre logement et vous suggèrent diverses solutions afin que vous puissiez négocier efficacement le prix de vente des biens. Ils vous donnent des conseils tout en tenant compte de vos besoins et exigences. Si vous ne disposez pas du temps nécessaire pour réaliser des visites des biens, les spécialistes du cabinet peuvent vous proposer des visites 360º.

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Pour augmenter la cohésion de son équipe ainsi que sa productivité, il est très intéressant pour une entreprise d’organiser un team building. Cette méthode apparue dans les années 1980 qui a pour objectif de resserrer les liens entre les membres d’une équipe a déjà fait ses preuves plus d’une fois. Les entreprises qui se trouvent aux alentours ou qui sont situées à Nantes peuvent profiter de certaines activités qu’offre la ville. Si vous prévoyez d’effectuer ce renforcement d’équipe à Nantes, voici quelques idées d’activités. Découvrir des sites en équipe En matière de team building, certaines entreprises optent pour des destinations à l’étranger comme le Vietnam, les USA ou le Canada en ayant recours aux services d’un spécialiste en voyage sur mesure. Mais pour ceux qui ne peuvent pas entreprendre des voyages à l’étranger, il est tout à fait possible de faire des découvertes intéressantes tout en restant en France. Nantes est par exemple un véritable carrefour technologique et culturel et cette ville propose différents sites à découvrir en équipe. Il y a notamment les Machines de l’île qui offrent un espace d’exposition et d’animation située à Nantes qui se divise en 3 sites, dont la galerie des machines. Vous y trouverez une mise en scène d’un véritable bestiaire de machines. Vous pouvez vous promener sur le dos du grand éléphant pour ensuite faire un tour dans le carrousel des Mondes Marins. Sinon, explorer le château des ducs de Bretagne est également une activité intéressante à faire en équipe. Faire un atelier de percussions Quoi de mieux que de synchroniser votre équipe aux rythmes africains ? Djembé, maracas, dundun… boostez la solidarité de votre équipe grâce à ces instruments. Lors de votre atelier, vous ne serez plus des collègues, mais des compagnons d’orchestre. Vous développerez ainsi la communication, le partage, l’écoute et la convivialité qui sont des éléments importants dans une équipe. C’est un exercice qui vous permettra de vous synchroniser et de mieux vous accorder pour pouvoir travailler à l’unisson dès votre retour au bureau. Tourner un film lors d’un team building à Nantes Pour découvrir les talents cachés de vos collaborateurs, rien de tel qu’une journée dans les coulisses d’un film. Le temps d’une journée ou d’un après-midi, laissez-vous entrainer dans le monde du cinéma. Pour vous mettre dans le thème, vous serez accompagné de professionnel dès le début de l’activité. Après quelques explications, c’est à vous de jouer. Vous aurez à rédiger ensemble le scénario et à répartir les différents rôles comme le caméraman, le producteur, les acteurs et les réalisateurs. Ce petit jeu de rôle vous confrontera à des contraintes inattendues et que vous devez régler en équipe telles que le temps, les pannes de dernières minutes, le budget… Après le tournage, vous pouvez visionner le rendu ensemble pour revivre les beaux moments que vous avez partagés.

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